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29/02/2008
"Une piqûre de rappel"
Cette semaine a lieu à Clairefontaine la seconde session de formation destinée aux candidats à la partie théorique du Diplôme d'Entraîneur de Football (DEF). Parmi les participants, Matthieu Vrilliard entraîneur de l'équipe féminine de Toulouse (D1). Ce dernier nous livre son sentiment sur ce rassemblement et évoque son parcours personnel.
Matthieu, comment est organisée cette nouvelle session ?
"Après un premier rassemblement mi-décembre, nous sommes de nouveau réunis à Clairefontaine, depuis lundi matin et jusqu'à vendredi midi. Nous allons avoir des cours toute la semaine en vue des examens que nous passerons en mars. Nous avons également eu des partiels hier matin sur la psychologie et la réglementation générale."
Quels sont les thèmes abordés durant ces sessions ?
"Ils sont variés : cela va de la traumatologie à la réglementation en passant par la vie d'un club ou la psychologie. En tant que technicien, je suis surtout concerné par ce dernier point. Mais c'est une bonne piqûre de rappel, car cela permet de se rendre compte de la fonction de tous les acteurs d'un club. Je peux également profiter à tous les niveaux des expériences riches des autres candidats."
Quel est votre parcours dans le football ?
"J'ai débuté comme joueur à Versailles. J'ai notamment évolué en 15 nationaux avec Thierry Henry ou encore Jérôme Rothen. Je suis ensuite parti à Auxerre, où je suis resté trois saisons, évoluant notamment en CFA 2. La suite de ma carrière m'a emmené à Caen, où en plus de jouer en CFA j'ai commencé à entraîner des poussins et des benjamins. J'ai également contribué à la création d'une section féminine dans la banlieue caennaise."
Justement, pourquoi vous êtes-vous orienté vers le football féminin ?
"Ce dernier est un football naissant, où tout est à faire. On essaie donc de le développer et de le promouvoir. Ce qui m'a attiré, c'est la possibilité de pouvoir proposer des projets et d'être libre de les faire vivre. Après Caen, j'ai travaillé dans la banlieue toulousaine à la restructuration d'une école de football. Je suis arrivé au TFC l'an dernier, où j'ai eu la charge de la réserve, avant de prendre en main cette saison les destinées de l'équipe première."
Qu'est-ce qui vous a poussé à vous orienter vers le métier d'entraîneur ?
"Rapidement, j'ai eu l'envie de découvrir comment cela se passait de l'autre côté, ne connaissant que la facette du joueur. Certains techniciens comme Daniel Jeandupeux, Guy Roux ou encore Bernard Turpin, que j'ai connu à Auxerre, m'ont également donné envie de devenir entraîneur."
"Après un premier rassemblement mi-décembre, nous sommes de nouveau réunis à Clairefontaine, depuis lundi matin et jusqu'à vendredi midi. Nous allons avoir des cours toute la semaine en vue des examens que nous passerons en mars. Nous avons également eu des partiels hier matin sur la psychologie et la réglementation générale."
Quels sont les thèmes abordés durant ces sessions ?
"Ils sont variés : cela va de la traumatologie à la réglementation en passant par la vie d'un club ou la psychologie. En tant que technicien, je suis surtout concerné par ce dernier point. Mais c'est une bonne piqûre de rappel, car cela permet de se rendre compte de la fonction de tous les acteurs d'un club. Je peux également profiter à tous les niveaux des expériences riches des autres candidats."
Quel est votre parcours dans le football ?
"J'ai débuté comme joueur à Versailles. J'ai notamment évolué en 15 nationaux avec Thierry Henry ou encore Jérôme Rothen. Je suis ensuite parti à Auxerre, où je suis resté trois saisons, évoluant notamment en CFA 2. La suite de ma carrière m'a emmené à Caen, où en plus de jouer en CFA j'ai commencé à entraîner des poussins et des benjamins. J'ai également contribué à la création d'une section féminine dans la banlieue caennaise."
Justement, pourquoi vous êtes-vous orienté vers le football féminin ?
"Ce dernier est un football naissant, où tout est à faire. On essaie donc de le développer et de le promouvoir. Ce qui m'a attiré, c'est la possibilité de pouvoir proposer des projets et d'être libre de les faire vivre. Après Caen, j'ai travaillé dans la banlieue toulousaine à la restructuration d'une école de football. Je suis arrivé au TFC l'an dernier, où j'ai eu la charge de la réserve, avant de prendre en main cette saison les destinées de l'équipe première."
Qu'est-ce qui vous a poussé à vous orienter vers le métier d'entraîneur ?
"Rapidement, j'ai eu l'envie de découvrir comment cela se passait de l'autre côté, ne connaissant que la facette du joueur. Certains techniciens comme Daniel Jeandupeux, Guy Roux ou encore Bernard Turpin, que j'ai connu à Auxerre, m'ont également donné envie de devenir entraîneur."
Article FFF Bastien Lhéritier jeudi 28 février 2008
05:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
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