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29/11/2010

Revue de Presse

Le TFC ne pouvait pas lutter

Logique respectée face au PSG.

Contre une formation comme le PSG, être performant dans tous les secteurs de jeu est essentiel. Pour le TFC, les quinze jours en effectif réduit se sont fait ressentir notamment dans l'animation offensive et dans la cohésion collective. Pourtant, sur l'ensemble de la partie, les « Violettes » n'ont pas démérité. Mais, en face, les Parisiennes proposent un jeu simple, direct et efficace. Elles ouvrent le score au bout du premier quart d'heure à l'issue d'une action symbolique de cette partie : relance propre et ouverture précise en profondeur pour une joueuse lancée à la limite du hors-jeu. Lozé profite du service de Bussaglia pour aller tromper Benameur. Un but que l'entraîneur toulousain Matthieu Vrilliard a bien du mal à digérer. « Je vois la ligne de hors-jeu en face de moi et l'attaquante adverse largement en position illicite. Même les arbitres ont reconnu leur erreur. Cela a complètement changé le cours du match. » Paris vire en effet en tête à la pause sur sa seule véritable occasion, tandis que les Toulousaines n'ont pas réussi à porter le danger devant la cage adverse. Dès la reprise, le PSG plie la rencontre. Lorgéré, blessée, rate son intervention. Teixeira accepte bien volontiers ce cadeau et double la mise. Les 3e et 4e buts, signés Bussaglia et Prevost, toujours sur des ballons en profondeur, sont anecdotiques. L'addition aurait même pu être plus salée sans quelques sorties autoritaires de la gardienne toulousaine, ou des interceptions salvatrices de Virginie Dessalle. Bien qu'évoluant en défense centrale, celle-ci a ponctué son match d'un but dans les arrêts de jeu, reprenant un corner mal dégagé, et confirmant son statut de meilleure réalisatrice du TFC. « Le goal-average aussi a son importance, souligne Matthieu Vrilliard. Malgré les blessures de Chatelin et Lorgeré qui ont déstabilisé le bloc, nous avons su limiter la casse. Il faudra de toute façon faire mieux lors des réceptions de Hénin et Saint-Brieuc. »

La Dépêche du 29/11/2010 Luc Verneret

Kramo et les Toulousaines sont tombées sur un os./ Photo DDM, Xavier de Fenoyl

11:11 | Lien permanent | Commentaires (0)

28/11/2010

Matchs du samedi 27 et dimanche 28/11

(match aller : PSG / TOULOUSE : 1-0)

15ème journée

Dimanche 28/11/2010

TOULOUSE / PSG : (0-1) 1-4

70 spectacteurs

Buts Virginie Dessalle 91' pour Toulouse Charlotte Lozé 17' Katia Cilene Teixeira Da Silva 49' Elise Bussaglia 63' Candice Prévost 70' pour Psg

PARC DES SPORTS STADIUM 2

Arbitres : DOROTHEE ILY, AOLEXANDRE COURNOT, HASSAN BOURASSE

TOULOUSE : 1 Karima Benameur 2 Anais Arcambal 3 Virginie Dessalle 4 Charlotte Lorgere (13 Manon Rouzies 50') 5 Laurie Leguevaque 6 Audrey Cugat 7 Delphine Chatelin (12 Sandrine Armengaud 59') 8 Marie-Ange Kramo © 9 Anne-Marie Banuta (14 Sidonie Demarle 50') 10 Solène Barbance 11 Rose Lavaud Entr : Matthieu VRILLIARD

PSG : 1 Bérangère Sapowicz 6 Nonna Debonne 4 Laure Lepailleur 5 Sabrina Delannoy © 7 Julie Soyer 3 Charlotte Lozé ( 14 Nora Coton Pélagie 46') 10 Caroline Pizzala 2 Elise Bussaglia 8 Léa Rubio (13-Léa Le Garrec 71') 9 Katia Cilene Teixeira Da Silva (12-Candice Prévost 59'), 11-Jessica Houara Entr : Camillo VAZ non utilisée : 16-Marie-Océane Bayol

Les autres matchs

Samedi 27/11/2010

ST BRIEUC / LA ROCHE : 4-0

Dimanche 28/11/2010

HENIN BEAUMONT / MONTPELLIER : reporté

ST ETIENNE / RODEZ : 1-0

YZEURE / LYON : reporté

JUVISY / LE MANS : 5-0

U19

5ème journée

Dimanche 28/11/2010

SOYAUX / TOULOUSE : 1-4

Buts : Marine L'Herideau 88' pour Soyaux Manon Cazes 3' Nesrine Daoudi 48' Mélanie Eutrope 58' Mathilde Rieux 68' pour Toulouse

Arbitres : JEREMY SOLAS BERNARD, SIMON BOURRINET, PRISCILLA BONNEAU

SOYAUX : 1 Alizée Nadal 2 Pauline Bisserier 3 Lauren Elwis 4 Marine L'Herideau 5 Marina Sainfré 6 Adèle Ratineau 7 Justine Deschamps © 8 Alison Rouyer 9 Manon Mallet 10 Clarisse Delannoy 11 Audrey Rio Brillouet 12 Florine Dosimont 13 Marion David 14 Tiphanie Angot Entr : Christophe MONTEIRO

TOULOUSE : 16 Déborah Garcia 2 Nora Skou (14 Nadège Dupebe 55') 3 Manon Cazes 4 Jessica Margaretta © 5 Morgane Ritter 6 Mihal Badr Bassem (12 Myriam Benlazar 50') 7 Mélanie Eutrope 8 Oriane Linge 9 Mathilde Rieux 10 Sofia Smati (13 Fayrouz Benyoub 65') 11 Nesrine Daoudi Entr : Nicolas REUTENAUER

Les autres matchs

MONTPELLIER / LYON : 2-0

ST ETIENNE / RODEZ : 2-5

(match aller TOULOUSE 2 / ALBI 2 : 2-1)

7ème journée

Samedi 27/11/2010

ALBI 2 / TOULOUSE 2 : reporté

Les autres matchs

STE CHRISTIE / MURET 2 : reporté

Dimanche 28/11/2010

ST SIMON / RODEZ 2 : reporté

18:46 | Lien permanent | Commentaires (0)

Carton rouge

PAS DE BANDEROLLE

Oui à mon avis trop court pour l'organiser. Mais vous avez bien travaillés Christine le 03/12/2010

Dommage, on avait bien bossé
On a passé un message à Mathieu tout à l'haure mais c'était peut-être un peu court pour s'oganiser

Bonjour Myriam, je viens d'avoir un texto maintenant car j'ai remonté votre info auprès de l'équipe. La réponse : ce n'est pas une bonne idée est Matthieu Vrilliard est contre. Je pense qu'ils n'étaient pas au courant de ce qui s'est passé à Hénin. Christine le 28/11/2010

Mauvaise humeur
après avoir lu les articles sur le triste spectacle que quelques supporters du PSG ont donné à Hénin-Beaumont le 1er novembre 2010

Depuis qu’elle a choisi de chausser des crampons, il y a 8 ans, et que grâce à elle j’ai découvert le football féminin, j’en suis arrivée à me dire que je préférais que ce soit ma fille qui joue au foot plutôt que mon fils : parce que ma fille sait qu’elle devra, en France, réussir ses études pour pouvoir avoir un métier et un salaire si elle souhaite vivre sa passion à défaut d’en vivre, parce qu’un match de foot féminin, c’est l’envie de gagner en pratiquant du beau jeu : technique pure, engagement loyal et générosité totale. Les spectateurs, trop peu nombreux en France, savent partager avec elles le plaisir de ces belles émotions sportives.

En s’engageant très jeune dans le football, ma fille a fait - sans en avoir conscience - des choix de vie particulièrement sains et équilibrés.

Et puis, hier, sont arrivées les mercenaires. Et puis, aujourd’hui, sont arrivés les hooligans.

Serait-il donc impossible en France de sortir de l’anonymat, de la confidentialité et du manque d’estime sans tomber immédiatement dans les pièges du foot masculin tellement visibles qu’ils en sont écoeurants, désespérants …

Les filles, s’il vous plait, soyez fières et solidaires, levez la tête et dites haut et fort ce que vous voulez et surtout ce que vous ne voulez pas. Il vous appartient d’inventer une nouvelle voie.

Et si vous avez besoin d’une preuve pour vous en convaincre, demandez-vous seulement combien de temps a été consacré au foot féminin lors des états généraux du football français qui se sont tenus au moment même où les filles se qualifiaient pour la prochaine coupe du monde.

Myriam GIBLET le 27/11/2010

J'ai eu 3 personnes qui sont d'accord. Ce ne sont pas des filles ! A mon avis elles seront d'accord car les féminines sont solidaires et ces "pseudo supporters" n'existent pas au foot féminin heureusement... Christine le 27/11/2010

Je peux improviser quelque chose mais j'aimerai bien que cet avis soit partagé par plein de filles.
Avez-vous eu des réactions ? Myriam GIBLET le 27/11/2010

je suis d'accord avec vous Myriam pour la banderole. Avez-vous le temps de la faire ??? Christine le 27/11/2010

cliquez également sur le lien pour complèment d'infos

http://www.footofeminin.fr/Le-PSG-sanctionne-d-un-point-a...

Je suppose que vous savez ce qui s'est passé lors du match féminin Hénin/PSG.
C'est le genre de truc qui me met de très mauvaise humeur et puisque les filles du PSG viennent jouer dimanche au Stadium, il me semble qu'il faudrait marquer le coup.
Première idée qui me vient à l'esprit : une banderole du genre "Ils ont pourris le foot masculin Ils ne nous pourriront pas ! Filles solidaires"
Qu'en pensez-vous ? Myriam GIBLET le 27/11/2010

Je mets l'article paru sur le journal l'Equipe Christine le 27/11/2010

Myriam GIBLET le 28/11/2010

13:46 | Lien permanent | Commentaires (0)

Virginie Dessalle : «Mettre ses tripes sur le terrain»

Toulouse est sorti, pour la première fois de la saison, de la zone rouge, il y a deux semaines, après sa victoire à Yzeure (3-2). « Un gros bol d'air » pour Virginie Dessalle, defenseur centrale toulousaine, meilleure buteuse du club après huit journées. Pas mal pour une joueuse qui avait arrêtée sa carrière voici un an.

Virginie Dessalle et le TFC flirtent avec la zone rouge (photo : Patrick Charbit)

La victoire à Yzeure (3-2), il y a deux semaines, a dû faire du bien au moral ?
Ça été un gros bol d'air même si le premier c'était à Rodez (ndlr : victoire 2-1). On aurait aimé enchaîner à Saint-Etienne mais on est passé complètement au travers. A Yzeure, on savait qu'on n'avait pas le droit à l'erreur. Le match a été assez difficile à gérer car on a beaucoup couru après le score en première mi-temps, avant de revenir, de prendre un but un peu casquette et puis de marquer dans les cinq dernières minutes. En tout cas, ça nous a fait du bien au niveau mental et au niveau comptable.

Cette victoire permet à Toulouse de sortir de la zone rouge pour la première fois cette saison.
On a eu un début de championnat difficile. Car même si on attaque à Lyon, on a deux matches qui sont à notre portée (Le Mans et la Roche sur Yon) sauf qu'on n'a pas été capable de prendre des points. On s’est donc mis en difficulté face à Montpellier et Paris, car on savait qu'il fallait aller prendre des points ailleurs.

Est-ce que l'équipe a douté en obtenant aucune victoire lors des cinq premiers matches ?
Non parce qu'on a un groupe assez jeune, ça peut-être un désavantage parfois, mais certaines filles découvrent la D1 et sont là pour jouer. Nous, les anciennes, on leur rappelle qu'on a eu quelques saisons difficiles mais qu'à force de bosser toutes ensemble on arrive à s'en sortir. Avec Matthieu (Vrilliard : le coach), on est là pour faire le relais avec les plus jeunes pour qu'elles s'enlèvent le doute de la tête. Et puis de toute à façon à part jouer, il n'y a pas grand chose à faire. Se morfondre c'est bien beau mais la saison est encore longue et on a encore une carte à jouer en championnat

« Fermer la porte aux attaquantes du PSG »

Rodez a vraiment été le déclic ?
Ça nous a fait beaucoup de bien, en plus c'était un derby avec toute l'animosité qu'il y avait autour. Le coup de froid, c'était le match à Saint-Etienne. Des déclics il y en a, il y en aura d'autres, l'idéal serait d'enchainer quelques victoires pour être sûres de notre potentiel et de s'ancrer dans une zone qui sera plus la nôtre que la zone rouge.

Vous affrontez Paris pour la deuxième fois en moins d'un mois. Les Parisiennes sont deuxièmes, ce sera forcément un adversaire compliqué à jouer
C'est une grosse cylindrée, une équipe qu'on a jouée, il y a un mois à peine, donc on la connaît bien. Là bas, c'était un match très difficile, on ne perd qu'un à zéro mais c'était dur, compliqué à gérer même si on a eu des occasions pour les inquiéter un peu. Et puis à Paris, il n'y a quasiment que des internationales. Il y a aussi Katia qui apporte un gros potentiel physique devant. C'est une belle équipe qui joue au ballon et qui peut nous convenir. On est mis en difficulté par des équipes qui balancent qui jouent sur le physique, on est mieux face à des équipes qui jouent.

Que faudra t-il faire pour gagner ce match ?
On prend pas mal de buts, si on pouvait fermer la porte aux attaquantes du PSG, ce serait une bonne solution. Il faudra jouer ce match comme un match de coupe, mettre ses tripes sur le terrain et donner tout ce qu'on a pour sortir sans regrets. On ne devra pas se poser de questions, être agressives dans les duels, solidaires, et pourquoi pas créer l'exploit du week-end ?

Que faire pour obtenir un bon maintien cette année ?
On est conscientes d’avoir vraiment loupé notre début de saison, maintenant le groupe regarde devant. Il y a des équipes à notre portée contre qui il faudra vraiment prendre des points. Le maintien ne viendra que si on a des résultats qui nous permettront de nous stabiliser, au moins, au milieu de tableau.

Y a t-il un souci en attaque car vous êtes la meilleure buteuse du club avec deux buts, alors que vous évoluez en défense centrale, ce n’est pas commun.
Non c’est vrai mais c'est moi qui tire les coups francs et à Yzeure je marque sur pénalty donc ça c'est un détail. Je pense qu'on a de très bonnes attaquantes, elles ont juste besoin d'un petit déclic de confiance. A Yzeure, on met trois buts, trois filles qui ne jouent pas devant. On leur a montré la voie, on n'attend qu'une chose, c'est qu'elles se mettent en route.

Quels adversaires seront les plus dangereux dans la lutte au maintien ?
On fera les comptes à la mi-championnat, mais on sera, au moins, huit équipes à se battre après les quatre intouchables. Tout le monde peut-être sujet à un gros passage à vide. Nous, on fera tout pour se stabiliser le plus haut possible et envisager le reste de la saison plus sereinement.

« La Coupe du Monde ? L’apothéose d’une carrière »

Ce sera plus dur de se maintenir que l'année dernière ?
Sur notre potentiel j'aurais dit non, mais le début de championnat a fait qu'on s'est mis en difficulté. Je pense que ce sera plus difficile que l'année dernière mais de toute façon on n'a pas le droit de descendre.

Personnellement, vous avez joué quasiment autant de matches que l'année dernière, ça fait plaisir de retrouver le terrain ?
J'avais décidé de mettre un terme à ma carrière l'année dernière avant de reprendre l'entraînement au mois de décembre. J'ai été replacée en charnière centrale, cette année, c'est un rôle qui me convient très bien, car, pour l'instant, je suis capable d'y répondre. J'ai 29 ans, ma carrière est derrière moi, j'essaye d'apporter tout ce que je peux apporter aux plus jeunes. Mais rien ne remplace les sensations qu'on peut vivre quand on est sur le carré vert.

Qu'est ce qui vous a poussé à reprendre la compétition ?
Je m'étais préparé à arrêter, je pensais que ce serait beaucoup plus simple. Et puis à force d'aller voir les copines à l'entraînement, je me suis rendu compte qu'il y avait quelque chose qui me manquait. Il y a aussi des anciens et des anciennes qui m'ont dit : « quand on a encore les jambes on se doit de continuer. » J'ai réfléchi, j'en ai parlé avec Matthieu qui m'a dit que la porte serait toujours ouverte. Je me suis alors dit qu'à 29 ans je pourrais continuer puisque physiquement ça va. Par contre maintenant, on se projette juste d'une année sur l'autre, on réfléchit. Là physiquement j'étais bien, et j'avais encore envie de jouer donc j'ai ressigné pour une saison.

Même si vous n'aviez joué que deux minutes en Coupe du monde (2003), ça fait quoi de participer à une telle compétition ?
C'est un des plus beaux souvenirs de ma carrière même si j'y ai peu participé. J'avais 22 ans, c'était merveilleux, on avait l'impression de toucher le summum. Sportivement, c'était l'apothéose d'une carrière. Après j'ai choisi Toulouse, et beaucoup m'ont demandé si je n'avais pas de regrets d'être parti de Lyon, mais je ne regarde pas derrière moi, je prends du plaisir à Toulouse, je vis bien dans ce groupe donc tant mieux.

Recueillis par Thibault Simonnet

08:18 | Lien permanent | Commentaires (0)

27/11/2010

Une recrue et un retour

Renforts au TFC.

Après huit journées de championnat plutôt compliquées, le TFC enregistre deux renforts.

Pour le premier, il s'agit en fait d'un retour. Marie Papaix, 22 ans et formée à Toulouse, avait en effet quitté les « Violettes » pour rejoindre l'Etoile Sportive de Saint-Simon cet été. Un départ que Matthieu Vrilliard, l'entraîneur toulousain, avait regretté : « Elle est partie en bons termes avec le club. Par rapport à d'autres filles nous ayant quittés ces dernières saisons, Marie a toujours fait preuve d'un excellent état d'esprit, d'une très grande intégrité. » Au sein d'un secteur défensif déjà bien fourni, le staff n'avait pas forcément besoin d'un élément supplémentaire, mais il compte bien s'appuyer sur cet atout de plus. « Elle s'entraîne avec le groupe depuis jeudi et pourra jouer dès qu'elle sera prête physiquement, poursuit le coach. L'avantage, c'est que nous la connaissons bien et savons parfaitement tout ce qu'elle peut apporter à l'équipe. »

Christelle Léger, 26 ans, débarque, elle, au TFC en provenance d'Orléans avec une mission bien précise : marquer des buts. Son profil d'attaquante intéressait les recruteurs toulousains depuis un moment. « Nous renforcer dans ce secteur était une priorité, explique Matthieu Vrilliard. Nous avions un œil sur Christelle qui tourne entre 15 et 25 réalisations par saison en D2. Le hasard a fait qu'elle soit venue s'installer récemment dans la région. L'occasion était trop belle et nous allons tout faire pour faciliter son apprentissage du niveau supérieur. »

La Dépêche du 27/11/2010 Luc Verneret

C'est une blague ou une erreur ??? je remets en ligne la fiche de Christelle léger

http://www.statsfootofeminin.fr/joueur.php?joueur=1758

22:20 | Lien permanent | Commentaires (0)