ALLEZ LES VIOLETTES

D2 Groupe C

Match en retard 12ème journée

Dimanche 09/02/2014

LA VEORE / ST ROMAIN SANNE : 5-0

U19 GROUPE B

11ème journée

Dimanche 09/02/2014

ST ETIENNE / TOULOUSE : 4-1

buts : Favre 3', Fleury 32', Gherbi 45'+6, Brun 56' ; Marine Garcia 70' (sp)

SOYAUX / MURET : 7-0

BLANQUEFORT / LYON : 0-7

RODEZ / MONTEUX : 0-2

NIMES / MONTPELLIER : reporté

DH

11ème journée

Vendredi 07/02/2014

ALBI 2 / LESCURE : 3-2

Dimanche 09/02/2014

MURET 2 / RODEZ 2 : Muret forfait général

RAMONVILLE / TOULOUSE 2 : reporté

Pour commencer, M. BUIGUES, avant d’utiliser votre droit de réponse, ce qui est tout à fait votre droit et qui est même très bien, il aurait été bon de bien lire ce qu’il était écrit. Je pense donc qu’il y a une différence entre « s’intéresse moins » (ce qui est dit dans mon interview) et « n’a aucun intérêt » (ce que vous dites dans votre réponse). Vous répondez donc déjà à une soit dissante affirmation qui n’existe pas, mais bon…

Pour rétablir quelques vérités tout de même, le bureau n’a pas pris la décision de se séparer de nous, mais c’est bien nous qui avons décidé de quitter le club, et quand je dis, nous, ce sont (et je ne parle que de la section féminine) 4 éducateurs sur 5 et une quarantaine de joueuses mais évidemment, en toute logique, ce sont plus de 40 personnes qui s’en vont alors que tout va bien, quoi de plus normal me direz-vous !!!

Pour ce qui est du club dans le club, c’est là encore une erreur parce qu’il y avait déjà à cette période des joueuses qui étaient éducatrices de jeunes garçons et qu’un rapprochement avec les garçons avait déjà eu lieu puisqu’un repas avait été organisé pour rassembler les joueurs et joueuses seniors, qui c’était très bien déroulé d’ailleurs. Mais je constate que certains ont la mémoire courte.

Pour ce qui est de ma divergence de logique d’ouverture, je pense encore qu’il fait fausse route parce que c’est exactement celle-là que je prône et qui est mise en place au sein de mon club actuel, à tel point que nous avons créé cette année une équipe seniors 3 afin que toutes ces demoiselles puissent pratiquer leur sport la semaine en s’entrainant, mais aussi le week-end en faisant des matchs, sans être mise à l’écart parce que débutantes.

De plus pour couper court à toute ambiguïté, l’éducateur suivi de 15 joueuses n’était pas moi (contrairement à ce que l’on pourrait croire en lisant sa réponse). Mais en même temps si elles l’ont suivi, il y a bien une raison… Sans oublier tout de même qu’il y en a environ 25 autres qui sont parties ailleurs ou qui ont arrêté la pratique de ce sport!!!

Pour ce qui est de mes changements de club, mon souhait est de pouvoir m’investir sur du long terme. Pour cela, il faut avoir le temps de mettre des choses en place, de construire, de faire de la formation, sans qu’une obligation de résultat immédiate survienne quel qu’en soit le prix sans regarder plus loin que le bout de son nez. J’ai la chance aujourd’hui d’être dans une structure qui permette cela, je devrais donc pouvoir enfin me stabiliser dans un environnement où tout est clair et sain, en espérant que notre président reste en poste!!!

Quant à la descente, j’ai forcement une part de responsabilité, et peut-être même la plus grande, mais je l’assume, pas comme d’autres. Cependant, il oublie quand même de dire qu’au moment de l’accession en D2, la saison précédente, un bon nombre de joueuses cadres avait déjà à ce moment décidé de partir. Ce n’est pas la meilleure façon de jouer à l’échelon supérieur surtout quand l’on connait la différence de niveau existant entre la DH et la D2. Eh oui, la section avait déjà subi quelques belles secousses en fin de saison 2011 (notons que lors de cette fin de saison les filles ont eu 3 coachs différents en l’espace de quelques mois). La faute à qui ??? Pour le coup, pas la nôtre, nous n’étions pas encore là, et c’est d’ailleurs à partir de là que nous avons été contactés…

Pour finir, j’éviterai de répéter les mots ou expressions qu’il a pu utiliser à certains moments pour parler des filles, ils sont bien trop vulgaire et dégradant pour elles. Et s’il a bonne mémoire, il devrait au moins se souvenir, ainsi que les personnes présentent ce jour-là, de ceux qu’il a pu dire lors de la dernière réunion à laquelle j’ai participé. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui m’ont définitivement donné l’envie de quitter ce club.

Peut-être qu’aujourd’hui sa vision des choses et son discours ont changés. Et si tel est le cas, je serais le premier en l’en féliciter. L’avenir nous le dira…

A mon tour, le sujet est clos …

Daniel SUTRA

Suite aux propos de Daniel Sutra, entraîneur de la DH féminine de Ramonville, publiés sur foot31 mercredi 5 janvier 2014, le président de l'ES Saint-Simon, Frédéric Buigues, a souhaité bénéficier d'un droit de réponse.

"Je remercie foot31 pour m'accorder le droit de réponse faisant suite à l'interview de Mr Sutra.
Tout d'abord je m'inscris totalement en désaccord avec son affirmation que le football féminin n'a aucun intérêt dans notre club et je vous présente quelques arguments dans ce sens. Mais avant cela il est nécessaire de remettre les choses dans leur contexte historique si jeune soit il.

A la fin de saison 2012, nous avons fait un constat amer que cette section féminine devenait un club dans le club et que malgré l'importance médiatique que celle-ci nous apportait, nous connaissions des dérives et désillusions concernant la solidarité de certains acteurs à l'égard de notre structure. Le bureau a donc pris la décision de se séparer de tous les éléments, aussi qualitatifs que quantitatifs soient-ils, afin d'assurer des valeurs profondes et incontestables que nourrissent notre club depuis bien longtemps. Y apporter peu d'intérêt aurait été de laisser certaines choses se faire sans réagir.
Depuis, nous avons opté pour un projet basé plus sur la convivialité, la qualité de l'accueil et la possibilité pour toutes de venir nous rejoindre (débutantes ou confirmées). Nous nous appuyons sur deux éducateurs diplômés (DEF et BEE1, choses rares pour un club de PH) qui ont par ailleurs évolué à des niveaux bien plus importants et qui ont eux aussi souhaité s'inscrire dans un processus de partage et convivialité plutôt que purement lié à la compétition. Non, nous ne sommes pas sans ambition mais nous voulons reposer nos résultats futurs sur un socle solide qui se construit jours après jours. Les choses semblent avoir pris forme car nombreuses de nos joueuses sont aussi éducatrices pour nos jeunes pousses. Il existe aujourd'hui une vraie fraternité qui lie nos deux sections qui ne font plus qu'une !

 

Nous n'avons pas la même logique d'ouverture pour nos licenciées. Nous ouvrons nos portes à toutes celles qui le souhaitent et ne faisons pas de grand sabordage de structure comme s'aiment à le faire quelques détracteurs (15 demandes de mutations pour suivre l'entraîneur en 2012.) Afin de développer le football féminin, il serait temps de taire les querelles de personnes et d'œuvrer au bénéfice de toutes ! Les entraîneurs, les joueurs, les dirigeants, les présidents passent, les clubs et notre passion doivent rester intactes pour ceux qui nous suivrons. Chose que visiblement Mr Sutra a bien compris au vu du nombre de clubs qu'il vient d'utiliser comme support à son sens aiguisé de l'entraînement... que malheureusement nous n'avions pas perçu car sa saison fut conclue d'une descente de D2 mais ceci n'était pas bien important pour nous.

Pour finir, je réitère mon intérêt pour ce football féminin. Pour preuve, nous organisons cette année la deuxième édition du challenge international des Étoiles. Fait rare en Europe et dans le monde pour l'organisation d'un tel événement. Aussi, nous sommes dans l'attente d'agrément pour impliquer un contrat civique à une joueuse pour l'intégrer encore plus dans l'organisation globale de notre club.

Je suis donc peu surpris du comportement de Mr Sutra et choqué qu'il laisse parler ses aigreurs sur la voie publique. Vu l'ampleur de son projet, je crois qu'il ne devrait pas perdre de temps car la reconnaissance ne se fait pas par des mots de presse mais par des actes. Notre club de Saint-Simon de son côté semble avoir fait ses preuves par la multitude des manifestations que nous faisons tant au niveau social et solidaire (forum de l'emploi), partenariats (Mondialito, Eurolito, Etoilito), football féminin (Challenge International des Etoiles) autant d'événements que nous offrons aux amoureux du ballon rond.

Pour moi le sujet est clos..."
Frédéric Buigues, président de l'ES Saint-Simon

Foot 31 du 07/02/2014

http://www.asmuretfootball.fr/la-saison/news/item/997-201...

Site officiel de Muret

Après avoir débuté le foot du côté de Mondonville puis de Pibrac, avoir enrichi son bagage de joueur et d'éducateur en Nouvelle Zélande et en Guyane, Daniel Sutra est tombé dans le foot féminin par hasard. Depuis, il ne cesse de défendre ces filles à qui on reproche trop souvent d'être... des filles. A la tête de la DH de Ramonville et impliqué à cent pour cent dans le projet de formation du club, il jette un regard sans concession sur la situation du foot féminin dans le Toulousain et au delà. (par Frédéric Denat)

Daniel, avant de vous "spécialiser" dans le foot féminin, vous avez longtemps été avec les jeunes ou des seniors masculins. Pourquoi avoir basculé de la sorte ?
Par hasard. J'ai passé mon BE avec Manu Carvalho qui s'occupait à l'époque de la DH féminine de Saint-Simon. Lors d'un repas, un jour qu'il me faisait part des difficultés qu'ils rencontraient pour trouver des encadrants, je lui ai répondu que je ne comprenais pas pourquoi. Et que de mon côté, parce que la nouveauté et la découverte de nouveaux horizons m'ont toujours attiré, j'étais prêt à tenter l'expérience si l'occasion s'en présentait. Il a du en parler à ses dirigeants car, lorsqu'il a quitté Saint Simon, ils m'ont contacté et c'est comme ça que j'ai mis un pied dans le foot féminin.

Et vous y êtes toujours trois ans après, à Ramonville après un passage par l'ASPTT Albi. Est-ce à dire que vous vous y épanouissez ?
Oui, complètement. J'apprécie beaucoup le contexte dans lequel on évolue et la possibilité d'évolution importante qui est devant nous. Les mentalités ne sont pas les mêmes et, dans l'approche qu'elles ont du football, la plupart des filles sont sans ambiguité. Elles sont là par passion uniquement. Elles sont saines et, en plus, à l'écoute et attentives à leur progression. On ne peut pas en dire autant de pas mal de garçons. J'apprécie cette différence.

A quoi ressemble une de vos semaines type à Ramonville ?
Elle commence le dimanche soir après le match. Je visionne notre rencontre de l'après-midi. Le lundi dans la journée, j'appelle la capitaine de l'équipe pour faire un débrief, histoire d'avoir son ressenti depuis le terrain. Le lundi soir et le jeudi soir je prépare mes séances et le mercredi soir et le vendredi soir, je les anime. Le dimanche, on joue... et quand j'ai le temps je vais voir les autres équipes de la section.

Après la D2, vous voilà en DH, avec quelles ambitions ?
Nous visons, à terme, les inter régions, d'ici deux ans, avec la volonté en parallèle de développer le projet de formation. Un travail très important est en train d'être fait au sein du club qui devrait, je l'espère, nous permettre de pouvoir durer dans le temps. Nous vivons une saison de transition avec la DH pour prendre le temps d'intégrer de nouveaux schémas et méthodes de travail qui n'existaient pas avant.

A part Rodez, les meilleures équipes de foot féminin de la région manquent cruellement de régularité au plus haut niveau. Pourquoi selon vous ?
Les raisons sont multiples mais elles concernent forcément le niveau des joueuses, pas suffisant pour prétendre mieux, et le manque d'argent à un moment où les clubs pros s'intéressent de plus en plus au foot féminin. Le fossé économique et sportif est énorme entre la DH et la D2, il l'est tout autant entre la D2 et la D1. En DH, il suffit d'une bonne gardienne et d'une bonne buteuse pour monter en D2... où ça devient insuffisant. Sainte-Christie en fait l'expérience cette saison. C'est aussi un problème de politique de club. A Saint-Simon, par exemple, le successeur de M. Del Tedesco, Frédéric Buigues, s'intéresse moins au foot féminin. A Ramonville, j'ai la chance d'avoir un président qui adhère mais si un jour un autre le remplace, il peut très bien changer de trajectoire. L'exemple de Muret est aussi malheureusement révélateur. L'ASPTT Albi est plus structuré avec un peu de budget et une volonté d'être solidaires avec les filles. Chaque club est un cas différent mais une des solutions est, aussi, de n'être qu'un club féminin.

Vous venez de récupérer quatre joueuses qui sont parties de Muret en cours de saison, est-ce que cela peut vous permettre de revoir vos ambitions à la hausse de cette saison ?
Non, on reste sur nos objectifs. De toute façon, nous ne pouvons en utiliser que deux à chaque match, car ce sont des mutées hors période. Et en plus, elles sont vraiment arrivées chez nous avec la tête au fond du sceau. Elles commencent à la sortir mais cet épisode a été difficile à vivre pour elles. Elles remontent la pente dans un environnement plus sain. Et contrairement à ce que peut dire le président de Muret, elles ne sont pas parties de gaité de coeur. Elles n'ont pas bataillé pendant toute une saison en D2 pour que ça finisse comme ça. Il faut arrêter de dire n'importe quoi.

 

"Mais quelles joueuses vont vouloir aller jouer à Muret après ce qui s'y est passé ?"

Justement, que vous inspire ce qui arrive à Muret, qui vient de perdre une quinzaine de joueuses en quelques semaines ?
C'est lamentable, à l'image de l'attitude de ce club qui a longtemps ignoré nos demandes de mutation concernant les quatre joueuses mutées qui attendaient leur qualification pour pouvoir jouer alors que nous avions pris la peine de bien les prévenir à l'avance. Le président de Muret a joué avec notre président, à Ramonville, et il n'a même pas eu le courage de l'appeler pour lui expliquer pourquoi ils faisaient traîner les choses. Il préfère appeler la police pour expulser des spectatrices, anciennes joueuses de son club, de Clément Ader alors qu'il n'en a même pas le droit. Mais quelles joueuses vont vouloir aller jouer à Muret après ce qui s'y est passé ? Les filles parlent entre elles c'est un petit milieu. Quel gâchis. Il serait vraiment dommage que par la faute de deux ou trois dirigeants cette belle section muretaine disparaisse. Je me demande à quel point cela ne les arrangerait pas que ça finisse ainsi. S'ils n'aiment pas le foot féminin qu'ils le disent, ce sera plus simple. Parfois, je crois aussi qu'il faut savoir dire qu'on s'est trompé. C'est aussi comme ça qu'on avance. En tout cas ce n'est pas avec ce type de comportement qu'on va faire évoluer la cause du foot féminin dans la région.

Vous êtes bien sévère !
Je veux juste rétablir la vérité. Chaque fois qu'on me parle de cette affaire, ça retombe sur les filles, c'est encore de la faute des filles, des filles soi-disant difficiles à gérer ! Mais c'est faux, archi-faux. Elles ont juste eu le tort de ne pas se laisser faire. Si, à Muret, elles avaient reçu la même considération que les garçons, elles y seraient encore. Sauf que tout le monde n'est pas encore prêt à leur faire la place qu'elles méritent. Elles jouent en D1, s'entraînent autant que les garçons, font autant de sacrifices, remplissent le stade aussi souvent voire plus... et au final elles coûtent toujours trop cher !

Etes-vous quand même optimiste pour l'avenir ?
Heureusement qu'il n'y a pas que des dirigeants qui veulent plus profiter que servir le foot féminin. Les mentalités changent petit à petit. Le nombre des licenciés ne cesse de diminuer pendant que celui des licenciées ne cesse d'augmenter.

Avec tout ça on s'est un peu éloigné de la notion d'éducateur, le thème de cette rubrique. On va donc terminer par la traditionnelle question. Selon vous, c'est quoi un bon éducateur ?
Un bon éducateur doit avant tout se remettre perpétuellement en questions, être à la recherche de tout ce qui peut lui permettre de s'améliorer et le mettre à profit pour ses joueuses. Il faut aussi être à l'écoute, tout en étant ferme, quitte à ce que ça "chauffe" un peu de temps en temps. Il doit aussi savoir s'adapter au public qui est face à lui car tout le monde ne recherche pas la même chose dans le football et tout le monde n'a pas les mêmes capacités.

Propos recueillis par F.D. Foot31

Daniel Sutra n'a pas peur de s'engager en faveur d'une égalité hommes-femmes dans le football.

Daniel Sutra
Né le 17 juin 1979 à Clamart
Parcours
Joueur : Mondonville, Pibrac, Brax, ASPTT Toulouse, 3 Kings United (Nelle Zélande), ASPTT Toulouse
Educateur : Brax (jeunes et seniors), Blagnac, U15 (2002-2004), Cugnaux, U18 (2004-2005), ASPTT Toulouse, PL (2005-2008), Cosma de Saint Laurent Maroni, Guyane (2008-2009), ASPTT Toulouse, seniors(2009-2011), Saint Simon, D2 féminine (2011-2012), ASPTT Albi, D2 féminine (2012-2013), Ramonville, DH féminine (depuis 2013)
Diplôme : BE1

 

Groupe C

ALBI
Arrivées : Catherine Villeneuve (Royal Select Beauport, Canada), Coralie Fabre (reprise)

CLAIX
Arrivées : Margot Mathelet (reprise), Sonia Pion (USCCO Compiègne)

LE PUY
Arrivées : Ludivine Coulomb (AS Saint-Etienne), Mathilde Moulin (reprise)
Départs : Mounia Bouljihad (Aulnat Sp.), Manon Toussaint (AF des Portugais)

MARSEILLE
Départ : Myriam Belkiri (O. Marseille)

NÎMES
Arrivée : Elodie Lizzano (AS Muret)
Départ : Céline Bernassau (US Villeneuve les Maguelone)

NIVOLAS VERMELLE
Départ : Sophie Piquard (RC Flacé Mâcon)

SAINTE-CHRISTIE
Arrivée : Nathalie Magnin (AS Muret)

TOULOUSE

Arrivée : Emilie Gonssollin (FF Yzeure AA)

Nicolas pour Muret savez-vous si les joueuses citées dans votre commentaire ont arrêté ou bien jouent dans un autre club ? merci de votre réponse. Christine le 31/01/2014

Jusqu'au 31 janvier, les clubs peuvent faire signer de nouvelles recrues. Etat des lieux à quelques jours de la fin du mercato.

ARRAS
Départ : Aurélie Piosek (FCF Hénin-Beaumont*)
*N.B. Ayant déjà joué avec Arras en D1 cette saison, elle ne pourra pas jouer avec un autre club du même championnat

LYON
Départ : Megan Rapinoe (Seattle Reign FC, Etats-Unis)

MONTPELLIER
Départ : Fanny Tenret (FC Sète)      

MURET
Départs : Audrey Monicolle (US Ramonville), Céline Escoubeyron (US Ramonville), Marion Morda (US Ramonville), Laura Asensio (FC Sète), Elodie Lizzano (Nîmes FF), Céline Faure (US Ramonville), Dorine Mamata (AS Portet), Solène Barbance (ASPTT Albi), Marie Malard (US Castanet), Laurie Joscht (US Castanet), Chloé Ys (RC Eaunes), Carole Fage (arrêt), Pauline Exposito (Toulouse Futsal Club), Manon Alard  (Toulouse Futsal Club), Violaine Grave (AS Portet)

SAINT-ETIENNE
Arrivée : Ophélie Brevet (reprise)
Départs : Laura Bouillot (Dijon FCOF), Ludivine Coulomb (Le Puy Foot Auvergne)

YZEURE
Arrivées : Cynthia Gueheo (reprise), Gloria Chinasa Okoro (RTP Unia Raciborz, Pologne), Jessica Shufelt (Mallbäcken UF, Suède)
Départ : Emilie Gonssollin (Toulouse FC)  

Pour les autres clubs pas de mouvements à ce jour.

A noter forfait général pour l'équipe DH de MURET